A la maison, nous avons toujours eu des animaux de
compagnie : chien, cochon d’Inde ou chat. Nous aimons les petites bêtes et
les enfants en ont eu dès le plus jeune âge. La cohabitation a été assez
facile. Ils ont appris à s’en occuper, à analyser leur comportement et à les
protéger. Nos animaux quant à eux ont su s’adapter.
Actuellement, nous avons un chat Caramel, petite boule de
poils roux, qui a séduit notre petite fille (qui a longtemps rêvé d’être
vétérinaire) avec ses grands yeux verts. Agé de 5 ans, nous l’aimons et nous le
protégeons.
Il fait partie de la famille : nous le nourrissons, le
soignons, nous jouons avec lui. Il a ses petites habitudes comme dormir dans
les placards, nous mordre parfois les mollets, faire des soirées télé avec nous
installé sur le canapé, nous faire des blagues (la dernière en date étant de
s’être caché 4h au moment où nous devions quitter notre maison de vacances pour
rejoindre Paris) …
Quand notre petite dernière est née, nous nous sommes
demandé comment il allait réagir. Au début la prudence nous a guidés et nous
l’avons tenu éloigné de notre nouveau-né… Mais il se sont apprivoisés et ne se
quittent plus. Le chat aime se coucher à côté d’elle, la petite essaie de le
toucher et le regarde avec des yeux écarquillés. Il accourt quand elle pleure
et l’a acceptée comme les deux grands.
Ultra sociable, il vit la plupart du temps en appartement
mais lorsque nous partons en vacances, nous l’emmenons avec nous si cela est
possible. Ainsi il partage notre vie quotidienne et profite lui aussi du bon
air.
Pour le préserver et nous protéger, nous sommes vigilants
quant aux parasites car à la campagne, il y a beaucoup de risques : puces,
tiques ou vers sont autant d’ennemis à son bien-être et au nôtre…
Pourtant même si nous connaissons bien certains dangers,
nous avons quelques lacunes ou fausses idées.
Je me suis donc renseigné sur le chatbot j’aimejeprotege
créé à l’initiative de Boehringer
Ingelheim. En quelques minutes et avec quelques questions bien pensées, j’ai
été informée des risques encourus et de la protection à apporter.
Par exemple, le chatbot nous demande la fréquence de sortie
de notre chat pour nous alerter sur les risques qu’il peut encourir dans les
hautes herbes et des moyens de le protéger.
Ainsi les puces sont présentes toute l’année et se
nourrissent du sang de l’animal. Et gare à vous, elles sont très habiles et
sautent en un rien de temps sur l’homme. J’avais eu le grand bonheur d’être un
jour attaquée par les puces d’un précédent chat et je peux vous dire que c’est
très désagréable…
Les tiques sont plus saisonnières mais particulièrement
dangereuses pour tout le monde puisqu’elles transmettent la maladie de Lyme.
De ce côté, nous étions plutôt attentifs lui mettant des
colliers ou des pipettes de produits régulièrement…
Mais nous étions nettement moins informés des risques liés
aux vers... On peut les observer dans les déjections et ils sont très
dangereux. J’ai donc appris qu’il fallait bien nettoyer la litière et éviter
que le chat ne nous lèche au visage ou encore ne pas lui donner de viande crue…
C’est pourquoi je recommande vivement de consulter ce site
qui répondra aux questions que vous pouvez vous poser sur la protection de
votre animal…
Un animal de compagnie c’est donc beaucoup d’amour mais
c’est aussi beaucoup de responsabilité. Il faut le protéger pour lui-même mais
aussi pour le reste de la famille surtout avec l’arrivée d’un jeune enfant…
Nous aimons, nous protégeons !
Et vous ?
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